Le nouveau locataire de Nyamoma , le professeur Jean-Jacques Purusi Sadiki vient de prendre officiellement ses fonctions. C’était lors d’une cérémonie de remise et reprise organisée ce lundi 24 Juin 2024 , en présence de son vice-gouverneur Jean Jacques Elekano et de plusieurs élus nationaux et provinciaux , des membres du conseil de sécurité et d’autres membres du gouvernement provincial sortant.
Marc Malago Kashekere qui assumait l’intérim a pour la circonstance souhaité la bienvenue à la nouvelle équipe dirigeante du Sud-Kivu , avant d’appeler toutes et tous à la cohésion , la collaboration et au travail bien fait.
Ensuite , l’ancien vice-gouverneur et gouverneur ai, présente les détail de tous les meubles et les immeubles de l’État depuis le début de son intérim jusqu’à ce jour,
Ceci avant d’appeler l’autorité provinciale à travailler dur et à ne pas tomber dans les erreurs comme l’ancien gouvernement provincial qui n’avait pas une bonne collaboration avec l’assemblée provinciale et les élus provinciaux.
Après la remise des emblèmes du gouvernement provincial , le nouveau locataire de Nyamoma , le professeur Jean-Jacques Purusi Sadiki n’a pas manqué de féliciter l’ancienne équipe gouvernementale, qui malgré les vents et marées , s’est battue tant soit peu pour la paix et l’émergence du sud Kivu.
Et d’ajouter que la province du Sud-Kivu demande un recyclage à tous les niveaux afin de répondre aux exigences des populations , comme le veut le président de la République, chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi , de consolider les acquis là où c’est nécessaire et de recommencer à zéro là où le vide était visible.
L’autorité provinciale a promis de se battre pour la paix et l’émergence du Sud-Kivu , en toute modestie , le professeur Jean-Jacques Purusi n’a pas manqué de se placer en unificateur afin de se battre pour les intérêts du Sud-Kivu en particulier et de toute la RDC en général.
En somme, le gouverneur du Sud-Kivu , promet la restructuration des services d’assiettes et les entités territoriales décentralisées qui seront suffisamment contrôlés pour accorder à la province les moyens de sa politique.
Par Eric MURHULA